Free-Dom

You are currently viewing Free-Dom

Dominique Deflorenne

« Peintre autodidacte et professionnel, j’ai en partie cheminé à travers l’approche de Jean Dubuffet qui a aiguisé ma curiosité pour des pratiques artistiques non consensuelles ou académiques. Dans le style, je suis touché par le surréalisme de Joan Miro et par la spontanéité créative d’un Keith Haring.

Les visages qui s’embrassent dans mes peintures sont souvent asexués, ainsi les diverses étreintes laissent libre cours à l’interprétation et fantasmes de chacun.

Ces baisers surréalistes entrelacés sont également nourris de références culturelles liées à des expériences de vie en Orient, en Afrique et en Asie. Après, je connecte toutes ces influences en un processus de création plutôt libre et joyeux en espérant créer des émotions. 

Dans des sortes de pulsions je dessine des courbes graphiques, esthétiques et lumineuses rehaussées avec des laques aux reflets métalliques. Je trace ces courbes à la façon d’un calligraphe oriental en alliant un geste spontané et en même temps maîtrisé, toujours avec une intention esthétique. 

Enfin, toujours de façon fantaisiste j’ajoute du relief à mes peintures avec des tôles embossées et rivetées. »

Principales expositions passées ou à venir de « L’Usine à Bisous » : 

  • Hôtel Rochegude ville d’Albi– Reg Art sur l’Afrique – mai 2024
  • Art3f – Toulouse – mars 2024 
  • Galerie Athanor – Albi – 2023 
  • Invité au Salon Terralire – Albi – 2023
  • Invité de la Maison de la Région Occitanie – Albi – 2023
  • Festiv’Art – Carlus – Exposant et organisateur – 2019/2022/2023
  • Art Graulhet – Exposant et organisateur – 2019/2022/2023
  • Pavillon Adélaïde – Burlats – Exposant et organisateur 2021/2022
  • Salon des Arts – Soual – 3 prix de la création, du public et autres techniques – 2019
  • Festival Singul’Air des Montagnes – canton de Lausanne – 2018
  • Invité à Collonge Bellerive – canton de Genève – 2016

L’USINE A BISOUS :

« On me questionne souvent sur cette obsession du baiser dans mes toiles,

…il faut revenir au soir du 13 novembre 2015, devant une toile blanche à la recherche d’inspiration, quand la télévision se met à vomir la terreur absolue du Bataclan et je reste là, comme beaucoup, sidéré une grande partie de la nuit. 

Le lendemain, repassant devant cette toile blanche et abandonnée, je m’assoie face à elle avec le besoin viscéral d’exorciser ce cauchemar. 

Je n’avais pas envie de répondre à l’horreur par de la violence ou de la haine, mais par une sorte d’espoir, de tendresse, ou de fraternité, comme ça…par humanité.

Le baiser était né.« 

Vous pouvez retrouver ses créations sur : https://www.free-dom.biz/